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Les aventures de Tounéco, chapitre 16
ETRETAT. Après une folle journée à la découverte des jeux de plage, Tounéco répond à l’appel de » La Porte « .
La nuit s’en vient, mais la mer repart… Tounéco veut en avoir le coeur net ! Il suit la limite des eaux pendant leur retrait. Nyctalope, il n’est pas gêné, sur le platier rocheux, évitant les pièges des trous d’eau. Toujours plus loin, toujours plus loin, la mer se retire avec un fort coefficient de marée et voilà notre ami, contournant la falaise d’aval, par une nuit sans lune de fin juin saluant l’arrivée de l’été.
Une page d’histoire enrichissante
ETRETAT. L’espace Nungesser & Coli va accueillir l’exposition « Etretat de 1814 à 1914, naissance d’une station balnéaire ».
Les aventures de Tounéco, chapitre 15
ETRETAT. Blotti pour la nuit sous un bateau typique d’Etretat, Tounéco s’éveille » à la mer « .
Pendant la nuit, les vagues s’étaient faites plus lointaines. Dans le petit matin, le ciel prend des allures rougeoyantes et le soleil, venant du fond de la vallée, darde le ciel et ses nuages roses, légers. Nonchalamment, Tounéco sort la tête d’entre ses pattes et contemple le paysage… Quand soudain : Alerte ! On a pris la mer !
Les aventures de Tounéco, chapitre 14.
ETRETAT. Après bien des péripéties, Tounéco découvre le panorama merveilleux d’Etretat.
D’abord, il y a l’odeur : fraîche, marine, profonde, Tounéco ferme les yeux pour mieux s’en » inspirer « . Alors, il y a le vent qui siffle dans ses oreilles portant des messages du monde entier par delà les flots. Enfin, rouvrant les yeux, il découvre la dimension féérique de l’endroit : Là, devant lui s’étale » la tache bleue « , et verte aussi parfois… De légères ondulations parcourent l’eau, tout comme de légers frissons parcourent son dos.
Les aventures de Tounéco, chapitre 13
ETRETAT. Tounéco, qui vient de découvrir l’église et ses » eaux bénites » part vers de nouvelles aventures.
Passé le porche, Tounéco se dirige vers la droite, un portail ouvert lui offre l’opportunité d’éviter le parvis et cette longue allée cailloutée qui mène au centre ville. A peine franchi, le portail se referme bruyamment sur lui, poussé par le vent. Un coup d’oeil circulaire et son poil se dresse sur son échine : Personne, il n’y a personne mais il est prisonnier du cimetière ! Timidement, il erre entre les tombes craignant des feux follets par-ci, des revenants par là, mais les seules ombres suspectes sont celles des arbres du bord de la route, ombres qui l’appellent, lui indiquant la sortie du labyrinthe, rue du Colonel Raynal, juste derrière les tombes des soldats canadiens de 14/18.