GONNEVILLE-LA-MALLET. Le festival Echo d’Orgues démarre fort avec la manécanterie des petits chanteurs de Notre-Dame du Havre et de Pascal Estrier.

Mercredi 2 juillet, en l’église Saint-Pierre, le public était au rendez-vous du premier concert du festival Echo d’Orgues. Une soirée qui s’annonçait merveilleuse en compagnie de Pascal Estrier à l’orgue et de la Manécanterie des petits chanteurs de Notre-Dame du Havre sous la direction de Thérèse Louvet.

La présidente de l’association Echo d’Orgues, Marie-José Le Damany remercie le public venu nombreux et présente la Manécanterie. Créée en 2009, elle se compose d’une quarantaine d’enfants du CE2 au lycée. Le chœur fait partie des Pueri Cantores, fédération internationale. Puis elle laisse la parole à Pascal Estrier, qui va ouvrir le concert en solo avec une suite de Jacques Boyvin, organiste et compositeur française, prélude grave, prélude à deux chœurs, duo…  Le public est conquis, se laisse emporter, l’esprit s’évade, on ressent de la paix… Les applaudissements crépitent.

Puis les enfants de la Manécanterie font leur entrée dans l’église tout en chantant. L’enchantement se poursuit. Accompagnées à l’orgue, les voix purent s’élèvent vers les hautes voûtes de l’église. Du pur bonheur. Thérèse Louvet évoque la participation en novembre 2024 de la Manécanterie à la création d’une œuvre « Les trois divins » de Jean Legoupil (présent dans la salle). Des œuvres de Patrick Giraud, Edward Elgar, Gabriel Fauré… Prière pour la paix interprétée par les enfants… ne seront que plaisir pour l’auditoire. En 2^ème partie, Pascal Estrier a choisi « Le grand dialogue » de Louis Marchand précisant à l’auditoire qu’il va entendre les différentes tonalités mais en une seule pièce. Orgue et voix à l’unisson vont enchanter le public du début à la fin. Un très beau concert, bien dans la renommée du festival, qui va s’achever par un tonnerre d’applaudissements.

Prochain concert le mercredi 9 juillet à 21h en l’église de Criquetot-l’Esneval avec Willy Bracoud (alto à piston) et Samuel Liegon à l’orgue.

Le Côte d’Albâtre